Découvrez le travail contemporain de Carole Duhayer
Carole Duhayer vit et travaille à Paris. Elle est née en 1978. Elle voyage à travers l’Europe et les Etats Unis avant d’étudier le Design à l’école Nissim de Camondo, Paris. Elle étudie aussi la peinture à l’école des Beaux arts de Paris.C’est en visitant l’exposition de Serge Poliakoff au Musée d’Art Moderne qu’elle a eu un véritable choc esthétique. Le deuxième après l’Alhambra de Grenade et son architecture mauresque, son dessin en dentelle de la pierre. Le déclic pour produire une série de dessins. Quelques mois après, elle les présentaient lors d’une exposition collective ayant lieu tout l’été à la Galerie Couteron, rue Guénégaud Paris 6e.Son diplôme à l’Ecole Camondo, obtenu en 2005, y est certainement pour beaucoup puisqu’elle expérimente toujours des notions de couleurs, d’espace et de forme. Elle mêle ces disciplines dans une même recherche formelle autour du motif et de l’ornement et s’interroge sur la réintérprétation décorative revendiquée par Klee ou Matisse. Son activité dans l’art s’étend dans le monde du design où elle a collaboré à des projets internationaux avec Philippe Starck, Tino Zervudachi, Gilles & Boissier entre autre; Samsung en design et en aéronautique.Ses recherches plastiques se font se dialoguer le monde scientifique et artistique dans une approche méthodique et synthétique. Le végétal, la cellule, la croissance l’inspirent à créer des dessins aux formes ornementales. Formes et couleurs s’articulent dans une quête du mouvement, d’un dessin dynamique: c’est une narration du motif pictural vers une danse de la forme. Carole Duhayer évoque la mécanique du désir où l’équilibre des formes et des couleurs est subtil et infini. La couleur comme motif pour développer une poésie picturale, une subtile hybridation entre le baroque et le minimalisme…
Les plantes, la croissance, la cellule le corps humain m’inspirent à créer une oeuvre ornementale.
Forme et couleur se mêlent ensemble dans la recherche du mouvement et un dessin dynamique.
La couleur est la base pour développer une poésie de l’image, une subtile balance entre le baroque et le minimalisme.
Clin d’œil à l’histoire du motif de paul klee à Henri matisse et au livre « l’œil et l’esprit « .
Toute image contemporaine en art ou dans les médias est une image peu « dominée «. Il y a toujours en elle une place pour l’aléatoire, l’impondérable. Image-segment, image-relais..c’est dans ce type d’image que je me suis plongée. C’est une question de contour. Rodin disait qu’une bonne sculpture doit en avoir une infinité.
Dans cette peinture, point de contours enchevêtrés mais des contours quasi aléatoires pour une forme non dominée.
Ce qui est chaotique, ce n’est pas quelque déséquilibre périlleux mais le processus même d’engendrements physico-chimiques du vivant, un univers quantique où tout se tient en porte-à-faux.
Il s’agit d’un corps moléculaire toute en virtualité véhiculant des flux d’information , attendant leur actualisation dans la vie des signes. Image segment, image-relais.
Les classiques désiraient la bonne silhouette, celle d’une médaille. Mais on sait que depuis la modernité en peinture seront privilégiés les contours multiples dès choses. Une pomme de cezanne, un portrait de Giacometti, un nu de Picasso ou de Bonnard, une combine painting de rauchenberg expriment des bords tremblés.
Carole Duhayer vit et travaille à Paris. Elle est née en 1978. Elle voyage à travers l’Europe et les Etats Unis avant d’étudier le Design à l’école Nissim de Camondo, Paris. Elle étudie aussi la peinture à l’école des Beaux arts de Paris.C’est en visitant l’exposition de Serge Poliakoff au Musée d’Art Moderne qu’elle a eu un véritable choc esthétique. Le deuxième après l’Alhambra de Grenade et son architecture mauresque, son dessin en dentelle de la pierre. Le déclic pour produire une série de dessins. Quelques mois après, elle les présentaient lors d’une exposition collective ayant lieu tout l’été à la Galerie Couteron, rue Guénégaud Paris 6e.Son diplôme à l’Ecole Camondo, obtenu en 2005, y est certainement pour beaucoup puisqu’elle expérimente toujours des notions de couleurs, d’espace et de forme. Elle mêle ces disciplines dans une même recherche formelle autour du motif et de l’ornement et s’interroge sur la réintérprétation décorative revendiquée par Klee ou Matisse. Son activité dans l’art s’étend dans le monde du design où elle a collaboré à des projets internationaux avec Philippe Starck, Tino Zervudachi, Gilles & Boissier entre autre; Samsung en design et en aéronautique.Ses recherches plastiques se font se dialoguer le monde scientifique et artistique dans une approche méthodique et synthétique. Le végétal, la cellule, la croissance l’inspirent à créer des dessins aux formes ornementales. Formes et couleurs s’articulent dans une quête du mouvement, d’un dessin dynamique: c’est une narration du motif pictural vers une danse de la forme. Carole Duhayer évoque la mécanique du désir où l’équilibre des formes et des couleurs est subtil et infini. La couleur comme motif pour développer une poésie picturale, une subtile hybridation entre le baroque et le minimalisme…