Découvrez le travail contemporain de Dystophotographie
Née le 11 novembre 1985, Suissesse, vivant en France, plus précisément en Ile-de-France depuis 9 ans, je suis collagiste numérique et photographe, mon pseudo est Dystophotographie. Je « découpe » et « colle » mes photographies. Mes décors et personnages sont le fruit de ce que je ne peux exprimer avec les mots, mon souffle, un sixième sens tel le goût, l’odorat, la vue, l’ouïe, et le toucher, je le pense dans une autres dimension, je le sors de mes tripes, pour dépeindre des univers tels qu’ils existent dans cette réalité « dystopique », onirique, merveilleusement cruelle . Rendre ces autres mondes invisibles visibles à qui veut bien regarder.
J’ai exposé dans divers lieux et événements à Paris, sélectionnée dans l’agence Artpill franco-américaine de 30 under 30 Women de l’agence 2013. Choisie pour le visuel du nouvel EP ( 6 titres) d’Eric kaija Guerrier « Wêmout – Poétique Rhéane du IXè au XVIè siécles ».
Participation à Quarentena Galería en 2020 et en 2022, c'est un projet développé par un groupe d'artistes et d'universitaires des arts visuels au Chili et au Mexique qui est né en réponse à l'absence d'espaces d'exposition formels en temps de pandémie. Espace virtuel pour promouvoir les arts visuels et présenter les réflexions d'artistes importants du monde entier.
Actuellement en collaboration avec l’écrivain Léonel Houssam pour la naissance et l'aboutissement d’un livre de mes collages accompagnés de ses textes : « Douleurs fantômes .
Les collages que je vous présente sont dans ma série « Les Métamorphoses ». Mélange organique, végétal, minéral de plusieurs vies, naissance de la mort et mise à mort de la mort par ces vies, entrechoque ces mondes, le néant se métamorphose en lumière. Mise en clarté des angles morts, ce que nous ne regardons jamais, ne voulons pas regarder, ses angles d’où naissent l’essence de la pensée, ses cocons, incubateurs cachés.
