Découvrez le travail contemporain de Gwenaëlle Le Mée

Gwenaëlle Le Mée

Photographe Plasticienne - Prix Jean LARIVIERE au Salon des Beaux Arts 2024 (Jardin du Luxembourg, Paris 6)

« Née en 1967, une enfance entre Antibes, dans le sud de la France, et des vacances en Bretagne, une carrière professionnelle à Paris et au delà des mers, je vis à présent sur l’île de Ré, face à l’océan Atlantique.

Mon intérêt pour l’art était au départ une douce esquisse, une récréation et une ambiance familiale. Ce goût pour l’esthétique est entré assez vite dans ma vie professionnelle.

Journaliste, directrice artistique, éditrice, mes matières de prédilection ont toujours été l’image et les mots mis en rythme dans un texte, une maquette, un montage, une émission ou un ouvrage.

Puis est arrivé le temps de la tentation nécessaire à l’expérimenter, à l’éprouver, à le pratiquer. En passant par divers cours de techniques et ateliers suivis à Paris et à l’étranger – une longue expatriation au Moyen Orient entre Doha et Beyrouth – puis, comme pour légitimer mon appétit, par l’obtention d’une licence en arts plastiques à l’université Paris-Sorbonne.

La vie étant rarement un long fleuve tranquille, certaines épreuves peuvent bousculer nos certitudes et nos habitudes et nous amener à prendre enfin un chemin plus en adéquation avec nos inspirations et nos rêves. »

« Je me donne une totale liberté de création, mêlant photographie, peinture et poésie, mon imaginaire en ébullition. L’échauffement est dans l’acte de faire, de défaire et de refaire, à l’image de la vie éphémère où tout est mouvement et transformation. Cette impermanence de l’existence devrait nous inciter à vivre passionnément le moment présent et à croire à nos rêves. Mon travail artistique évoluant sans cesse, au rythme des idées, d’expérimentations, d’erreurs, d’envies, j’essaie d’exprimer ce même ressenti, de cadrer de façon à rendre le visible imaginaire, d’agir sur la matière, avec un travail plastique et numérique pour arriver à tirer une œuvre dont les formes appellent au rêve … Comme pour tenter de sensibiliser ce monde effervescent à la fragilité de la vie. »

Deux techniques …

* Photographie transférée sur bois puis retravaillée plastiquement, encres, pigments, laque, acrylique, ponçage, ciselage, feuille d’or ou d’argent ou autres expérimentations jusqu’à ce que le mouvement soit, ce qui rend l’œuvre originale et unique.

* Photographie retravaillée et tirée sur papier Fine Art Baryta Hahnemühle, avec une édition limitée à 15 exemplaires tous formats confondus.

Série « S’aimer à tout vent » est une série de 8 photographies d’une des plus belles des sauvageonnes de nos jardins, le pissenlit qui évoque notre enfance, la joie, le mouvement, la transformation, la liberté. A la moindre agitation, ses fines soies s’envolent pour disséminer ses graines. Des graines d’amour. L’essence de la vie.

Je suis l’auteure de toutes les photographies.

site :

https://www.gwenaellelemee.com/

compte Instagram

https://www.instagram.com/glm.artist/