Découvrez le travail contemporain de JLC
D’une formation initiale à l’Académie Charpentier, suivi de l’entrée aux Beaux-Arts de Paris après le concours et quelques années à étudier antiques, dessins, modèles vivants, peintures, histoire de l’art, etc. Je m’oriente vers une toute autre voie, la presse et l’édition. C’est dans la presse pour enfants et adolescents que se déroulera essentiellement ma carrière, tout en poursuivant régulièrement une activité artistique à travers le dessin.
Une fois à la retraite, je reprends contact avec les Beaux-Arts de Paris et entreprend dans un premier temps une série de portraits, ainsi que des natures mortes. Par la suite, fort de cette reprise, j'explore la forêt de Meudon (près de Paris) et j’y découvre les jeux d'ombre et de lumière, sur la végétation et les sols, et vois apparaître à mon regard de fantastiques formes et apparitions qui éclosent et disparaissent au fur et à mesure que le jour s’écoule.
Dans le même temps, avec deux amis rencontrés aux Beaux-Arts, je travaille sur le motif avec le pastel. Dans le même temps, j’entreprends une activité de modelage-sculpture à Sèvres puis à Meudon. Je projette dans le futur proche un travail avec le verre et je suis en ce moment un second stage pour mieux en maîtriser les contraintes.
A venir très prochainement deux expositions collectives (Association Zinzoline) à Blaye près de Bordeaux, ainsi qu’à Meudon à l’Orangerie.
Il est possible de voir sur le site : e-motifs.org une partie de mes réalisations, le recensement fait n’est pas exhaustif.
Ayant participé à l'exposition "Les Machines célibataires" en 1976, celle-ci a déterminé, progressivement, mon regard posé sur les choses qu'il m'intéressait de travailler. De ce fait, je me suis éloigné d'une représentation classique ou même moderne, pour rechercher comment transcrire ce sur quoi je pose mon regard pour en faire ressentir ce que j’en éprouve sur le moment. Les corps, les objets ou les paysages perdent ainsi progressivement leurs réalités quotidiennes et tenter d’en faire ressentir ce qu’ils sont de façon sous-jacente.
