Découvrez le travail contemporain de Kaouteur
Je m’appelle Souibgui Kaouteur, j’ai vu le jour à St-Marcellin le 26 février 1978 et je suis une artiste peintre qui vit et travaille à Grenoble dans l’Isère (38).
J’ai, à la base, une formation de professeure d’allemand, la peinture m’a « happée » dans ses entrailles en octobre 2019, dès lors, j’ai renoncé à l’enseignement pour m’y consacrer corps et âme (cette tentation dormait en moi depuis déjà fort longtemps en réalité). Par la force des choses, il va sans dire que je n’ai aucune formation artistique. Je me considère comme une autodidacte pure, sans référence particulière bien que je voue une grande admiration pour Gustav Klimt ou Hans Hartung.
J’ai eu la chance de faire plusieurs expositions en France (dont 2 en galerie), une en Corse (aux côtés de 2 autres artistes). La dernière en date s’est déroulée en février 2022 au centre culturel de Milan dans le cadre d’un concours international d’art contemporain (Malamegi Lab20) où j’ai fini parmi les 12 finalistes.
À travers mes créations artistiques entièrement consacrées à l’art abstrait, je voue un culte à la création et au pouvoir de l’imagination et j’invite mon fidèle spectateur à toucher avec les yeux et regarder avec les doigts mon univers haut en
Je m’appelle Souibgui Kaouteur, j’ai vu le jour à St-Marcellin le 26 février 1978 et je suis une artiste peintre qui vit et travaille à Grenoble dans l’Isère (38).
J’ai, à la base, une formation de professeure d’allemand, la peinture m’a « happée » dans ses entrailles en octobre 2019, dès lors, j’ai renoncé à l’enseignement pour m’y consacrer corps et âme (cette tentation dormait en moi depuis déjà fort longtemps en réalité). Par la force des choses, il va sans dire que je n’ai aucune formation artistique. Je me considère comme une autodidacte pure, sans référence particulière bien que je voue une grande admiration pour Gustav Klimt ou Hans Hartung.
J’ai eu la chance de faire plusieurs expositions en France (dont 2 en galerie), une en Corse (aux côtés de 2 autres artistes). La dernière en date s’est déroulée en février 2022 au centre culturel de Milan dans le cadre d’un concours international d’art contemporain (Malamegi Lab20) où j’ai fini parmi les 12 finalistes.
À travers mes créations artistiques entièrement consacrées à l’art abstrait, je voue un culte à la création et au pouvoir de l’imagination et j’invite mon fidèle spectateur à toucher avec les yeux et regarder avec les doigts mon univers haut en couleurs.
La quête de la retranscription du mouvement est le pilier de mon univers artistique. Et le mouvement qui me fascine le plus est celui de la fluidité. Par fluidité, j’entends tout ce qui se meut dans le milieu aquatique. Ce dernier me fascine et il est un organisme qui m’obsède par-dessus tout, c’est la méduse. Presque toute ma peinture est inspirée par elle, par sa grâce et sa légèreté.
Cette quête du mouvement se prolonge aussi dans la dimension tactile que je propose dans mes créations, puisque mes « mes enfants » comme j’aime à les appeler sont destinés autant à ceux qui voient, qu’à ceux qui ne voient presque plus ou qui sont aveugles. Touchez avec les yeux et regardez avec les doigts : tel est mon crédo. À loisir, je détache la couleur des significations, du symbolisme qu’on peut lui attribuer, ce qui compte pour moi, ce sont les couleurs que l’on a dans la tête ! Du reste, pourquoi une forêt ne pourrait-elle pas être bleue, rose ou rouge ?
Pour mener à bien cette quête, j’utilise différents supports, tels que le bois, la pierre, la faïence ou le verre. Chaque matière à sa façon conditionne le visuel ou le toucher en proposant une approche ou une interprétation subjective, mon but étant de laisser la plus grande liberté à celui ou celle qui voit ou qui touche.
Mon univers artistique peut paraître étrange pour certains, mystique pour d’autres mais il ne fait que refléter ma soif d’originalité. Je n’ai ni maître, ni modèle bien que je voue par exemple une grande admiration à Gustav Klimt ou à Hans Hartung. De loin, je préfère mettre au point mes propres techniques (peindre avec une règle) et inventer mes propres mélanges (tel que « l’acryling » ; « croisement » entre l’acrylique et le medium pouring).Tout reste toujours motivé par la retranscription du mouvement.
Je ne cherche en aucun cas à reproduire la réalité mais préfère la transcender en laissant place à mes délires fantasques. De ce fait, chacun est libre de voguer à sa guise dans mes « créations-aquariums », ma devise étant : restez libre d’interpréter ce que vous voyez, ce que vous touchez en vous délectant de vos « émotions et expériences picturales ».