Découvrez le travail contemporain de Louis Ain
Louis (Armand Victor Marie) Ain a vu le jour en 1993, juste après la victoire de l’OM en Ligue des Champions (pour un mec qui descend d’une famille de Sudiste, ça pète !) durant un été bien humide. Ce qui expliquerait son aversion pour la baignade. Peut-être que ça n’a rien à voir en fait.
La Bourgogne sera sa terre d’accueil, ce qui fera de lui le bon vivant que l’on connaît. Oui, Louis ne serait rien sans un morceau de pain, quelques tranches de fromages et de saucissons, le tout arrosé de bière et de vin. Une passion pour les félins le pousse à recueillir un chat errant. Qu’il baptisera du nom d’Heinrich (OSS117, Hubert de la Batte tout ça, tout ça). Et avec qui, il semblerait avoir de très longues discussions.
Le skateboard, qu’il découvre tôt, lui ouvrira les portes de la photographie ; et des urgences pour quelques chevilles foulées. Une jeunesse épanouie, qui fera l’homme qu’il est maintenant. Mentalement déficient (parfois), équipé d’un sens de l’humour « particulier », producteur de musique expérimentale sur son GSM intelligent, un mec stupéfiant en somme.