
Découvrez le travail contemporain de Luc Reichert

Au début des années 90, j'ai élargi mes simples dessins en faisant mes premiers pas avec l'aquarelle et la peinture à l'huile.
Je n'ai pas vraiment étudié l'art, je me classe donc dans la catégorie
des autodidactes.
Après de nombreuses années, je dirais que mon style est reconnaissable.
Je l'appelle l'art pop minimal.
Bien que je n'utilise que des aquarelles et des peintures acryliques.
Mes aquarelles sont minimales, parfois provocantes et principalement basées sur deux ou trois couleurs.
Mes œuvres acryliques sont très détaillées, mais toujours minimales.
Je veux exprimer le maximum avec le minimum.
J'expose depuis les années 90, pas seulement au Luxembourg,
mais aussi bien au-delà des frontières.
Par exemple à Vienne, Oxford, Sarrebruck, Metz, et pour finir à New York.
Il y a une bonne anecdote à propos de New York.
Dans une galerie, j'avais trois tableaux, deux avaient été vendus et un avait mystérieusement disparu. J'étais assez contrarié, mais finalement,
je pense que c'est plutôt cool comme situation.
Quelque part dans le monde, il y a mon tableau introuvable.
J'aime créer, m'immerger dans mon travail, c'est pourquoi j'utilise beaucoup d'art recyclé, de vieux livres, des cadres, etc.
En fait, je dirais que c'est ma drogue...
Septembre 2024, j'ai eu l'opportunité de reprendre la
Galerie d'art de Sainte Alvère.
J'ai toujours rêvé d'avoir ma propre galerie, et c'est maintenant chose faite.
Au début des années 90, j'ai élargi mes simples dessins en faisant mes premiers pas avec l'aquarelle et la peinture à l'huile.
Je n'ai pas vraiment étudié l'art, je me classe donc dans la catégorie
des autodidactes.
Après de nombreuses années, je dirais que mon style est reconnaissable.
Je l'appelle l'art pop minimal.
Bien que je n'utilise que des aquarelles et des peintures acryliques.
Mes aquarelles sont minimales, parfois provocantes et principalement basées sur deux ou trois couleurs.
Mes œuvres acryliques sont très détaillées, mais toujours minimales.
Je veux exprimer le maximum avec le minimum.
J'expose depuis les années 90, pas seulement au Luxembourg,
mais aussi bien au-delà des frontières.
Par exemple à Vienne, Oxford, Sarrebruck, Metz, et pour finir à New York.
Il y a une bonne anecdote à propos de New York.
Dans une galerie, j'avais trois tableaux, deux avaient été vendus et un avait mystérieusement disparu. J'étais assez contrarié, mais finalement,
je pense que c'est plutôt cool comme situation.
Quelque part dans le monde, il y a mon tableau introuvable.
J'aime créer, m'immerger dans mon travail, c'est pourquoi j'utilise beaucoup d'art recyclé, de vieux livres, des cadres, etc.
En fait, je dirais que c'est ma drogue...
Septembre 2024, j'ai eu l'opportunité de reprendre la
Galerie d'art de Sainte Alvère.
J'ai toujours rêvé d'avoir ma propre galerie, et c'est maintenant chose faite.
J'expose depuis les années 90, pas seulement au Luxembourg,
mais aussi bien au-delà des frontières.
Par exemple à Vienne, Oxford, Sarrebruck, Metz, et pour finir à New York.
Il y a une bonne anecdote à propos de New York.
Dans une galerie, j'avais trois tableaux, deux avaient été vendus et un avait mystérieusement disparu. J'étais assez contrarié, mais finalement,
je pense que c'est plutôt cool comme situation.
Quelque part dans le monde, il y a mon tableau introuvable.
J'aime créer, m'immerger dans mon travail, c'est pourquoi j'utilise beaucoup d'art recyclé, de vieux livres, des cadres, etc.
En fait, je dirais que c'est ma drogue...
Septembre 2024, j'ai eu l'opportunité de reprendre la
Galerie d'art de Sainte Alvère.
J'ai toujours rêvé d'avoir ma propre galerie, et c'est maintenant chose faite.