Découvrez le travail contemporain de Marie de Grandry
Née en 1971 à Boulogne-Billancourt
Vit et travaille à Paris
Site internet : https://mgrandry.wixsite.com/marie-de-grandry
Instagram : mariedegrandry
Etudes :
Master et CAPES en Arts Plastiques à l’Université de Paris 8, Saint-Denis
Deux années de formation en Art et Thérapie (INECAT).
Expositions :
2022 Braderie de l’Art, La Condition Publique, Roubaix
Désir, hommage à Isabelle Lévénez, 5.7 Isabelle Suret, Paris 5ème
2019 La vie en rose, Espace Jocelyne Outrequin et Galerie Espace Canopy, Paris 18ème
2018 Salon des Arts-Visuels, Salle Olympe de Gouges, Paris
Made in France, Espace Jocelyne Outrequin, Paris
2016 Salon des Arts-Visuels, Salle Olympe de Gouges, Paris 11e
« La petite collection » conception de Florence Lucas
Galerie White Project, Paris 3ème
2013 « Accords », Espace Jocelyne Outrequin, Paris 18ème
2008 “Between us”, Galerie Miss China Lunch Box, Paris 9ème
2007 « C’est mon tableau », Galerie Christine Phall, Paris 5ème
« Les filles et moi et moi et moi », une proposition d’Isabelle Lévénez,
Galerie Miss China Beauty, Paris 1er
2006 « Sourires », Espace Jocelyne Outrequin, Paris 18ème
2004 « Portrait en abîme », avec Léna Golovina, Espace art-exprim , Paris 18ème
1999 « Sur les droits de l’homme », Espace la Mercerie, rue Oberkampf, Paris
1998 « Dessins » à “l’atelier”, Paris 18 (avec Isabelle Lévénez, Béatrice Cussol...)
Depuis 1998, son travail explore et interroge le corps, motif et sujet centraux de son oeuvre, à travers les mediums du dessin, aquarelle ou peinture.
Dans la série des travaux qu'elle a réalisées depuis 2001 sur le thème récurrent du corps. Cette fois ci représenté en apesanteur, entre deux états. Les personnages sont saisis dans leurs mouvements, dans des attitudes hésitantes, ils volent, dansent, planent, tombent. Des corps qui recherchent leurs présences au monde, la place qu’ils pourraient avoir dans une société qui se déshumanise.
Elle atteint alors quelque chose d'une mesure proprement existentielle, elle soulève un morceau de voile de quelque chose d'un refoulé.
Le spectateur est alors placé en position de témoin, position dans laquelle il ne peut demeurer indifférent.
Les personnages flottent dans le support et leurs contours ne sont pas visibles.
Ces corps « post baroques » revisitent d’une certaine manière ceux des plafonds des églises italiennes du XVIIème siècle dans un esprit plus contemporain de pathos comme l’évoque Catherine Grenier dans La Vengeance des émotions, Seuil, 2008
Depuis 1998, son travail explore et interroge le corps, motif et sujet centraux de son oeuvre, à travers les mediums du dessin, aquarelle ou peinture.
Dans la série des travaux qu'elle a réalisées depuis 2001 sur le thème récurrent du corps. Cette fois ci représenté en apesanteur, entre deux états. Les personnages sont saisis dans leurs mouvements, dans des attitudes hésitantes, ils volent, dansent, planent, tombent. Des corps qui recherchent leurs présences au monde, la place qu’ils pourraient avoir dans une société qui se déshumanise.
Elle atteint alors quelque chose d'une mesure proprement existentielle, elle soulève un morceau de voile de quelque chose d'un refoulé.
Le spectateur est alors placé en position de témoin, position dans laquelle il ne peut demeurer indifférent.
Les personnages flottent dans le support et leurs contours ne sont pas visibles.
Ces corps « post baroques » revisitent d’une certaine manière ceux des plafonds des églises italiennes du XVIIème siècle dans un esprit plus contemporain de pathos comme l’évoque Catherine Grenier dans La Vengeance des émotions, Seuil, 2008.