Découvrez le travail contemporain de Miguel Blanes
L'ŒIL DE L'ARCHITECTE de Miguel Blanes (1961 - Alcoy/Espagne)</font> /font>
Comment un architecte devient-il peintre ? Il m'a demandé un journaliste, dans une interview, l'année dernière 2023. J'ai répondu que, pour moi, la peinture est une libération artistique, c'est un cri et c'est une protestation, c'est un cri de plaisir et de douleur, qui vise à briser la bulle d'une société plus hyperrégulée et corsetée ;/font>
L'œil, les yeux, les demi-yeux qui voient tout, les yeux qui entendent tout, le les yeux qui touchent tout, sont témoins de tout ce que nous faisons, parfois ils sont les nôtres et d'autres fois les autres... L'œil de l'architecte est ma vision particulière de la société contemporaine à travers la peinture, où la géométrie, peut-être due à une déformation professionnelle, est un élément fondamental. Parfois, ce sont des figures géométriques asiatiques appariées, entrelacées et superposées, créant un système complexe de couches et de niveaux qui encouragent et permettent aux plans du tableau d'interagir les uns avec les autres. avec des profondeurs différentes, de sorte que les parties et le tout, et le tout et les parties, complètent un tout. À d'autres occasions, ce sont les spirales infinies qui s'entrelacent, comme s'il s'agissait d'un fil sans fin, et se chargent de générer des flux et des dialogues au sein des figures et des parties de l'œuvre elle-même... et c'est alors que, avec insistance, sans crainte ou en considération, la couleur apparaît intuitivement ; Les couleurs mexicaines, parfois appliquées harmonieusement, parfois de manière stridente, pour établir dissonance et tension. Mon soutien, par décision et par ma propre vocation, ne peut être autre que le papier, «Papier vierge», comme essentiel ; Le matériau de mon existence artistique et professionnelle, et de mon seul credo artistique, est sans aucun doute : ART POUR ART POUR ART !
Je peins de manière autodidacte et intuitive, sans peurs ni restrictions autres que les miennes, avec le bagage d'une vie poursuivant l'Art là-bas Où je suis allé. J'admire et j'aime Wassily Kandissky, Joan Miró, Antoni Tápies, Le Corbusier, Mies van del Rhoe et bien d'autres grands maîtres. Lors de la présentation de ma première exposition, le peintre Manolo Solbes Arjona m'a dit ironiquement qu'il était tombé dans les bras du POP ART, et j'ai répondu : paraphrasant la dernière scène du style Certains l'aiment chaud du brillant Billy Wider : " Personne n'est parfait... "
@miguelblanes2023
