Découvrez le travail contemporain de Tsir

Suite à des études en arts-plastiques (à Rennes), je découvre réellement le monde de l'art sous toutes ses formes. Permettant de se complaire dans ce vaste univers et pouvant se diversifier dans les supports d'expressions, j'obtiens une licence. À la suite de ces études, voulant expérimenter, pendant quelques mois je vais me tourner vers la photographie et commence à travailler sur plusieurs séries photographiques distinctes. Voulant toujours plus me diversifier, je fais par la suite une année préparatoire dans une école de design (à Nantes).

Aujourd'hui, je suis photographe artistique indépendant.

Mon site ( www.tsirunivers.com ) me sert comme une vitrine de toutes mes créations mais aussi comme boutique.

J’aime être pluridisciplinaire dans mes travaux photographiques. Je travaille autant sur des sujets sombres que sur des sujets dits plus basiques comme le monde végétal.

Voulant travailler sur le vaste monde floral, mais aussi autour de l’idée des natures mortes, je développe une série photographique s’intitulant Suspensus Vitae (signifiant littéralement Vie Suspendue). Cette série photographique donne à voir des représentations de végétaux vivants, mais aussi de fleurs fanées.

En parallèle, une autre partie de mon travail, nommé Perceptions Obscures, va se concentrer sur des univers sombres. J’aime explorer le célèbre fondement humain du mal, l’horreur sous toutes ses coutures et autres mignonneries. Ce projet étant très vaste, il peut parfois être question de mettre en évidence une notion de beauté, de tendresse ou encore de fragilité qui peut se tapir dans la noirceur. Je cherche à montrer dans ce monde sombre des personnages macabres, des idéologies religieuses ou encore de grandes idées (solitude, romantisme…) qui font que ce projet n’a effleuré que la surface de ses bas-fonds obscurs.

Il est bon de préciser que ce genre de photographies, qui ne sont pas communes et qui peuvent parfois déranger, permettent d’engager le spectateur d’une façon plus vive, et ce même s'il ne le souhaite pas, car sa réaction est d’autant plus forte – la mission qui est de provoquer un ressenti, qu’il soit bon ou mauvais, via une pièce d’art est alors complétée.